1.4.05

Racismo anti-branco

Ce réveil démontre, au passage, la lâcheté des médias «progressistes» qui auront participé – participent encore – au maquillage des faits contrariant leur confort intellectuel. Pour avoir refusé d'aborder l'insécurité et la violence autrement qu'à travers les discours déculpabilisants des sociologues et les raisonnements victimaires des «droits-de-l'hommistes» – Mrap et Ligue des droits de l'homme en tête –, ces gardiens du politiquement correct ont contribué à endormir la vigilance collective. Jusqu'à banaliser les propos antifrançais.

Le malaise social des habitants des banlieues est une chose. La haine contre les Blancs en est une autre, qui n'est pas excusable. C'est en assumant cette critique légitime, adressée à des personnes revendiquant leur impunité, que les médias combattront cette autre plaie du racisme. Elle s'infecte de ne pas être désignée par son nom. C'est ainsi également que les bons apôtres lutteront contre le Front national qu'ils consolident en lui offrant le monopole de l'indignation.
Tal como no tabaco, devia fazer-se um anúncio "o politicamente correcto pode fazer mal à saúde".